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LE GUIDE
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Aperçu de l’histoire de l’A.G.E.P.S

 


 L’A.G.E.P.S est affiliée actuellement à l’U.N.E.F, qui est une très vieille dame : elle a fêté son 90ème anniversaire en 1997. Jusqu’en 1945, l’U.N.E.F est une fédération de « corpos » qui organisent des fêtes, tiennent des salles de billard, etc.

L’U.N.E.F devient un syndicat étudiant après la Libération. Dans la lignée de la Résistance, la charte adoptée au congrès de Grenoble jette les bases de ce que pourrait être un syndicalisme étudiant. Mais les étudiants, encore une petite minorité de la jeunesse, ne disposent pas de suffisamment de poids pour imposer des réformes importantes, mise à part la création du régime de sécurité social étudiant.

 L’U.N.E.F connaît une évolution dix ans plus tard au moment où l’Université commence à être plus ouverte socialement. C’est l’apogée de l’U.N.E.F lorsqu’elle se trouve confrontée au problème de la guerre d’Algérie. Ainsi, de nombreux militants s’organisent pour ne pas effectuer leur service militaire.

 À partir de 1960, l’U.N.E.F est en pointe dans la lutte pour la paix, et appelle les étudiants à refuser de partir en Algérie. En même temps, elle entame une réflexion sur l’université et mène la contestation. C’est son heure de gloire, qui dure malheureusement peu. Minée par les divisions, l’U.N.E.F s’essouffle. En mai 1968, contrairement à sa légende, ce n’est plus qu’une coquille vide. Finalement, certains de ses militants décident de la transformer en « organisation politique de masse ».

 C’est du refus de ce choix suicidaire qu’est venu le renouveau de l’U.N.E.F. Des étudiants venus d’horizons différents (communistes, socialistes, chrétiens de gauche, etc.) décident de rénover une U.N.E.F fidèle à la ligne syndicale : c’est chose faite, en deux étapes, en 1971 et 1975. Depuis cette date, l’U.N.E.F est restée fidèle à ce qu’il y a eu de meilleur dans celles des années soixante : le travail pour la construction d’un véritable syndicalisme étudiant.

Cependant, à partir de 1995, sclérosée, la direction (proche du P.C.F) de l’U.N.E.F est incapable de renouveler son orientation et de s’adapter aux évolutions universitaires. C’est pour cela que les militants de l’U.N.E.F Paris-IV décident en avril 2001 de s’engager dans la rénovation du syndicalisme étudiant et rompent avec la direction de l’U.N.E.F en fondant l’A.G.E.P.S, première étape de la construction d’une nouvelle organisation étudiante réellement indépendante et démocratique. Nous avons l’ambition de rompre avec « la pensée unique syndicale », et souhaitons faire des propositions sur l’ensemble des réformes qui touchent l’enseignement supérieur, que cela soit sur l’aide sociale ou sur l’harmonisation des cursus européens.